Happy who, like Ulysses... …has travelled to the confines of the Mediterranean, relished the taste of the wind and brought back dreamlike fragrances. But most provisions would spoil easily and scurvy was a major threat… I took up the torch—I imagined these lands of sun-dried plants and spices, and also reminisced this mixture of flour and water that Sicilian seamen would bring on board and keep in the holds, the very mixture that became the Italian pasta we are so fond of. I then created the …

Heureux qui comme Ulysse… parcourut les confins de la Méditerranée, savoura le goût du vent et rapporta des parfums rêvés. Encore fallait-il lutter contre le scorbut et les difficultés de conservation des rares aliments durables sur les vaisseaux…J’ai repris le flambeau, imaginé ces rivages habités de plantes séchées de soleil et d’épices, me suis souvenu aussi de ce mélange de farine et d’eau que les marins siciliens emportaient dans les cales des bateaux, mélange qui deviendra les pâtes italie…

Chaque année elles reviennent et c'est un tel bonheur que je vous re-raconte l'histoire... Chaque matin, peu importe les conditions climatiques, Philippe Orveillon enfile sa combinaison, chausse ses palmes et masque avant de sauter dans les profondeurs de la mer à Saint Malo pour ramasser à la main, une par une les précieuses coquilles Saint Jacques. Il faut savoir que l’eau en hiver peut descendre jusqu’à quatre degrés et il est obligé de nager avec des lampes pour avoir une meilleure visi…