Jamais sans Le Cancalais !
Véritable expression de la vie marine, l’huître fait partie de ma vie. Et l’huître de Cancale que j’aime est pleine d’eau, vivante et assez charnue.
Pour les ouvrir, j’utilise « Le Cancalais » mon couteau à huitres que j’ai conçu il y a bientôt 20 ans. La forme de l’objet se rapproche du couteau « London » présent au fond de toutes les poches des aventuriers des mers dès le XVIIIème siècle. D’après la légende, il était interdit d’embarquer une lame pointue pour éviter les bagarres meurtrières au sein de l’équipage, la lame est donc arrondie de type « pied de mouton ». Le profil du couteau ouvert rappelle celui du cachalot ainsi que le mouvement de la houle. Fermé, une rondeur le caractérise au creux de la main accentuée encore par la douceur de l’ébène et la lame devient alors une carène renversée. A l’origine, certains modèles possédaient un épissoir que nous avons choisi de remplacer par une lame huîtrière.
Cette lame huitrière est belle dans sa fonction, autant pour les adeptes de l'ouverture sur le côté que pour ceux qui préfèrent la charnière du coquillage. Les huîtres creuses comme les plates ne peuvent lui résister, un système ingénieux de cran d'arrêt assure une sécurité maximum.
Et n’oubliez pas de jeter la première eau de l’huître, une nouvelle eau apparaîtra et elle sera plus goûteuse.
Munissez vous de votre Cancalais, je vais vous raconter de nouvelles aventures: coquillages et Roellinger…
Pour les ouvrir, j’utilise « Le Cancalais » mon couteau à huitres que j’ai conçu il y a bientôt 20 ans. La forme de l’objet se rapproche du couteau « London » présent au fond de toutes les poches des aventuriers des mers dès le XVIIIème siècle. D’après la légende, il était interdit d’embarquer une lame pointue pour éviter les bagarres meurtrières au sein de l’équipage, la lame est donc arrondie de type « pied de mouton ». Le profil du couteau ouvert rappelle celui du cachalot ainsi que le mouvement de la houle. Fermé, une rondeur le caractérise au creux de la main accentuée encore par la douceur de l’ébène et la lame devient alors une carène renversée. A l’origine, certains modèles possédaient un épissoir que nous avons choisi de remplacer par une lame huîtrière.
Cette lame huitrière est belle dans sa fonction, autant pour les adeptes de l'ouverture sur le côté que pour ceux qui préfèrent la charnière du coquillage. Les huîtres creuses comme les plates ne peuvent lui résister, un système ingénieux de cran d'arrêt assure une sécurité maximum.
Et n’oubliez pas de jeter la première eau de l’huître, une nouvelle eau apparaîtra et elle sera plus goûteuse.
Munissez vous de votre Cancalais, je vais vous raconter de nouvelles aventures: coquillages et Roellinger…